Traitement naturel des symptômes du SOPK

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Publié le 3 septembre 2020
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Mis à jour le 30 mai 2023

Combien de fois avez-vous entendu dire que la seule issue pour vivre avec le SOPK (Syndrôme des Ovaires Polykystiques) était de prendre la pilule ? Et si les pistes étaient autres part ? Dans cet article, je vous donnerai tous ses conseils pour accompagner et mieux vivre avec son SOPK et ses symptômes.

Cet article vous donnera également d’autres réponses. Bien souvent, lorsqu’on entend parler de traitement du SOPK au naturel, on lit des conseils sur l’arrêt du gluten, du sucre ou encore la prise de plantes. Mais qu’en est-il réellement ? Je suis Maxime de Love Your Nutrition, expert en SOPK. Après des années de lecture d’études scientifiques, vous aurez ici des solutions basées sur la science. Par ailleurs, si vous êtes atteintes de ce syndrome, je suis disponible pour vous fournir des coachings et accompagnements personnalisés adaptés à vous.

Quels sont les symptômes du SOPK ?

Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est une pathologie endocrinienne touchant 10% des femmes en âge de procréer selon l’INSERM. Bien que selon une littérature plus large, la prévalence est comprise entre 5% et 20%. C’est un dérèglement hormonal d’origine ovarienne et/ou centrale qui impacte négativement le cycle féminin.

Les symptômes, dont sont victimes, les femmes souffrantes de cette maladie sont les suivants :

  • Les troubles de l’ovulation
  • L’infertilité
  • L’hirsutisme
  • L’acné
  • L’hyperandrogénie
  • Le syndrome métabolique

Existe-t-il un traitement pour le SOPK ?

A ce jour, il n’existe pas de traitement médical pour soigner le SOPK. Elle ne peut donc pas en guérir. Cet état de fait amène, dans son sillage, une notion qui pourrait s’avérer néfaste pour les femmes malades : LA FATALITÉ !

Certes, elles ne peuvent pas en guérir mais rien n’indique qu’elles ne peuvent pas agir sur les divers symptômes que provoque le SOPK. Employons-nous donc à comprendre et chercher différentes pistes pour mieux vivre son SOPK au naturel, en agissant, donc, sur les symptômes !

Quelles sont les solutions pour soulager les symptômes du SOPK ?

Les femmes atteintes de ce syndrome cherchent toutes des traitements ou méthodes naturelles afin d’améliorer leur qualité de vie. Diverses notions peuvent avoir un impact comme la diététique, l’hygiène de vie mais également la phytothérapie. Dans cet article, j’aborderai quelques idées reçues qui permettront également de vous donner quelques pistes sur comment mieux vivre votre SOPK au naturel !

Régime alimentaire en cas de SOPK : idées reçues ?

Disclaimer : Ces conseils ne constituent en rien un protocole personnalisé ! Il est donc tout à fait possible que ce soit pertinent ou non selon votre profil et vos symptômes.

La nutrition est une approche naturelle pouvant moduler la santé humaine. Néanmoins cela n’est pas toujours vrai. En fonction de la maladie, la diététique peut être une composante importante du processus de guérison ou d’amélioration ! Dans le cadre du SOPK, la diététique est un des traitements symptomatiques à effet, pratiquement, thérapeutique. En d’autres termes, la diététique du SOPK est LA première chose à mettre en application

Nous allons aborder la relation entre le sucre, le gluten, les produits laitiers et le syndrome des ovaires polykystiques ! Est-ce que ces restrictions sont scientifiquement justifiées ? Quelles sont les vérités et que faut-il faire sur ces différentes consommations ?

Faut-il arrêter le gluten en cas de SOPK ?

La restriction en ce qui concerne le gluten est monnaie courante dans le cadre du SOPK. La maladie du SOPK est caractérisée par un terrain inflammatoire au niveau de différents marqueurs biologiques. Certains sont intimement liés aux comorbidités comme le diabète et les maladies cardiovasculaires (1). 

Deux questions se posent : 

  • Le gluten augmente-t-il les marqueurs biologiques de l’inflammation ? 
  • La diète sans gluten améliore-t-elle les symptômes des femmes en SOPK ? 

Il n’existe aucune réponse malheureusement puisque la consommation de gluten n’est ni mal étudiée ni bien étudiée. Elle ne l’est tout simplement pas. 

Les preuves scientifiques et le gluten

Lorsqu’on vous dit de supprimer le gluten, aucune preuve scientifiquement fiable ne soutient cette allégation ! Les aliments, contenant du gluten, ne sont pas inflammatoires dans l’ensemble et dans la majorité de la population. Aucune instance officielle de santé (EFSA, INSERM, ANSES) ne mentionne une réduction de la consommation de gluten dans les recommandations générales pour être en bonne santé ou limiter le risque d’apparition de maladie ! 

Compte tenu de l’impact psychologique, dans la gestion de la diététique, via la suppression de gluten, il faudrait une bonne raison d’imposer cela aux femmes en SOPK. Manifestement, il n’y en a aucune.

Doit-on bannir le lait en cas de SOPK ?

Peut-on consommer des produits laitiers en SOPK ? La croyance concernant cette restriction repose exactement sur le même argument que pour le gluten : l’inflammation ! Malheureusement, la littérature scientifique manque de données concernant la consommation de lait et de produits laitiers chez les femmes en SOPK. 

Et si le lait était bénéfique ?

La recommandation de ne pas en consommer se base donc sur des preuves concernant une population générale ! C’est ce que nous allons faire également. Il est admis que les produits laitiers ont une activité neutre à bénéfique sur l’inflammation ce qui ne peut pas constituer une prévention de les supprimer de l’alimentation ! Une revue de 2020 étudie l’association des produits laitiers et du lait sur le métabolisme glucidique, sur la fertilité et évoque, en extrapolant, un éventuel rôle dans le SOPK ! 

Les auteurs mentionnent qu’il est tout à fait justifié d’inclure du lait et des produits laitiers pour 2 raisons : 

  • Effet bénéfique sur la diminution du risque de développer un diabète de type 2 chez les femmes ; 
  • Aucun effet particulièrement négatif sur l’ovulation et la fertilité (2). 

Ils précisent, néanmoins, que des futures études devront être menées avec des femmes SOPK pour davantage de sûreté et moins d’ambiguïté !

Finalement que faut-il faire avec sa consommation de lait ? 

Non seulement, vous n’avez pas besoin de bannir les produits laitiers mais en plus, il est plutôt favorable d’en consommer pour réduire le risque de diabète de type 2 qui est plus important dans le cadre du SOPK. Si vous en avez envie, vous pouvez donc tout à fait en consommer !

Limiter le sucre : une bonne idée en cas de SOPK ?

La consommation de sucre est un passe-partout dans le cadre de cette pathologie ! Dans le SOPK, 50 à 70% des femmes ont une insulino-résistance, la prévalence est évidemment plus importante chez les femmes en surpoids et en obésité que chez les femmes minces ou avec un IMC dans les normes (3) ! 

Réduire les sucres simples

Il est admis que la régulation de la glycémie doit être un des axes fondamentaux du traitement diététique. Les guidelines recommandent, en effet, de réduire les sucres simples dans l’alimentation et d’y faire légèrement plus attention qu’en temps normal. Une revue de 2017, qui n’est pas de haute qualité, suit les recommandations globales que l’on retrouve dans la littérature sur les différents sujets (4). Plusieurs raisons expliquent cette recommandation. La consommation accrue de sucre simple et raffiné soutient une consommation calorique plus importante, ce qui n’est pas souhaitable, avec peu de micronutriments. De plus, il semble plus profitable d’avoir son apport glucidique via des aliments ayant un bon taux de fibres pour la régulation de la glycémie.

Cela ne signifie pas que les sucres simples détériorent, dans tous les cas, la santé des femmes en SOPK. Une petite étude avec un faible échantillon (24 femmes) a comparé l’apport en protéine et en sucre simple sur leur santé globale et glucidique. Le groupe en sucre simple avait un déficit de plus de 400 kcal avec une consommation de glucide à 56% de l’apport énergétique. Au bout de 2 mois de diète, elles ont perdu du poids et ont diminué faiblement leur masse grasse. Elles ont aussi eu une diminution de la glycémie à jeun, de l’insuline, de la résistance à l’insuline et de l’inflammation globale (5).

Bien entendu, cette étude n’est pas à prendre pour exemple idéal car d’autres variables ne se sont pas améliorées comme le bilan lipidique et la masse maigre. Il y a énormément de défauts dans la diète de ces participantes (taux de fibres, de protéines, amélioration relativement faible pour 2 mois complets etc…). Cela montre que dans l'absolu, les sucres simples n’aggravent pas nécessairement la santé glucidique et la composition corporelle des femmes en SOPK.

Finalement que faut-il faire avec sa consommation de sucre ? 

Je recommande personnellement de les limiter légèrement mais sans aucune interdiction ni sans aucun seuil particulier. En cas de besoin, vous pouvez me contacter afin d’établir un plan adapté au SOPK et à votre mode de vie.

L'Hygiène de vie : un fardeau ou un allié ?

Le SOPK rend le quotidien des femmes plus complexe. L’intensité de certains symptômes comme la chute de cheveux, les douleurs pelviennes, l’acné, l’infertilité ne facilitent pas le bien-être psychique et psychologique sans même parler de l’aspect corporel qui peut très vite devenir un frein social puissant.

L’hygiène de vie est-elle alors qu’une simple victime et conséquence ? Ne pourrait-elle pas devenir un acteur majeur de l’amélioration de la qualité de vie ? Un point sur le sommeil et le sport !

L’importance et l’impact du sommeil sur le cycle

Il semble totalement pertinent d’apporter une attention particulière au sommeil ! En effet, dans cette maladie, il existe une prévalence supérieure de risque en ce qui concerne les troubles du sommeil, la qualité du sommeil, l’efficacité du sommeil, la latence du sommeil et la somnolence (6) ! 

Cette détérioration du sommeil, en comparaison avec les femmes non SOPK, peut même être liée à une détérioration du bilan lipidique et affectée, sur le long terme, le risque de maladie cardiovasculaire notamment au niveau de l’IMC, de la tension artérielle et de la glycémie à jeun (7) ! 

Par conséquent, toute intervention, permettant d’améliorer le sommeil de manière générale, est la bienvenue dans le cadre du SOPK si un mauvais sommeil fait partie des symptômes cliniques !

Le sport et le SOPK : quelle incidence ?

La pratique d’exercice physique est une fondation de la santé. Néanmoins les femmes en SOPK ont tendance à moins en faire. Il ne s’agit pas de dire que les femmes SOPK sont plus fainéantes. Elles sont plutôt victimes de difficultés supplémentaires qui peuvent largement moduler l’envie, la motivation, la possibilité de pratiquer une activité physique. 

Le SOPK reste une charge mentale, il est bienveillant de se poser la question suivante : Est-ce que le sport est bénéfique pour ces femmes et doit-on encourager intelligemment sa mise en application ?

Le sport a de nombreux bienfaits très connus et cela ne fait pas exception lorsqu’il s’agit du syndrome des ovaires polykystiques. Une méta-analyse et revue systématique mentionne la cohérence d’appliquer une activité sportive de 2 à 5 séances par semaine et un minimum de 2h de sport sur la semaine ! L’exercice physique induit une amélioration des paramètres cardiométaboliques, de la résistance à l’insuline ainsi que du tour de taille et de l’IMC (8).

Une autre revue évalue si les preuves sont suffisantes. Elles sont de faible qualité et les auteurs demandent une amélioration de la coopération entre les chercheurs et les organismes de financement afin de produire des preuves de qualité et des approches plus appropriées et durables (9). 

Actuellement, il semblerait que la pratique d’exercice physique soit une bonne recommandation mais les futures recherches devront être de meilleure qualité.

Les plantes et le SOPK : La phytothérapie peut-elle aider ?

L’utilisation des plantes dans le milieu médical est très controversée via les allégations et les abus provenant de diverses plateformes sociales. La littérature ne laisse pas systématiquement de côté la phytothérapie. Cependant, dans une grande majorité des cas, il y a soit peu de qualité, soit un manque de données rendant toute conclusion impossible. 

SOPK, Berbérine et insulino-résistance

Exemple avec la berbérine qui est une plante médicinale chinoise ! Il est trop tôt pour affirmer son utilité dans l’insulino-résistance pour les femmes en SOPK mais la littérature y trouve un côté prometteur (10). Ce qui fait défaut est le manque de données ainsi que les facteurs confondants comme le concept de co-supplémentation ! La berbérine a aussi été étudiée sur d’autres aspects comme la fertilité ou encore les taux d’androgènes. Les résultats semblent légèrement positifs. Cependant le manque cruel de qualité indique qu’on ne peut pas totalement se fier à ces résultats (11). 

Son utilisation peut donc être envisagée. Cela ne doit, en aucun cas, être la stratégie première ni être inscrit dans un discours confiant et rassurant d’un professionnel de santé. 

La phytothérapie dans l’ensemble est prometteuse. Les femmes SOPK peuvent envisager certains suppléments ou médicament à base de plantes comme une option et un bonus potentiellement intéressant (12). Cependant ce n’est pas parce que c’est prometteur que c’est forcément utile, efficace et bien étudié. Il faudra donc être suivi pour personnaliser ce type de protocole.

Traiter les symptômes : Être suivi par des professionnels

Traiter les symptômes de la SOPK peut être un défi. C’est pourquoi ne restez pas seule ! Être suivi par des professionnels qui connaissent le sujet constitue le fondement pour traiter les symptômes du SOPK. C'est pourquoi il est important d'être suivi par des professionnels compétents et expérimentés. 

Pour le diagnostic, seul un médecin est habilité à le faire. Ainsi, en cas de doute, de suspicion ou de mal-être, dirigez-vous vers un médecin afin d’en savoir plus sur vos symptômes.

Pour le SOPK, beaucoup de contenu est posté sur internet. Faites attention à ce que vous lisez. Ayez toujours un esprit critique.

Après des années de lecture scientifique sur le sujet, avec Love Your Nutrition, je souhaite faire avancer les discours autour du SOPK. Trop d’allégation sont écrites sans fondement. C’est pourquoi, je propose un suivi personnalisé pour les personnes atteintes de SOPK. J’utilise une approche globale pour comprendre les besoins individuels de chaque patient et élaborer un plan de traitement adapté. Je me base sur des références scientifiques pour proposer un coaching complet incluant l'alimentation, le plaisir, l'échange et les résultats. 

Quels sont les traitements naturels en cas de SOPK ?

Le traitement naturel du SOPK se situe avant tout sur les symptômes que ce dernier provoque ! Conformément à ce qui est mentionné dans cet article, vous pouvez continuer le gluten faute de preuve existante pour le bannir. Par ailleurs, il est recommandé de consommer des produits laitiers ! Limitez les sucres simples type sucrants (miel, sucre blanc et roux, gâteaux etc…) mais sans interdiction ni seuil bien défini ! 

L’hygiène fait aussi partie du traitement naturel des symptômes dans le SOPK comme le fait de prendre particulièrement soin de son sommeil ainsi que de maintenir un niveau d’activité physique satisfaisant. 

En ce qui concerne les plantes, la berberine n’est pas recommandable pour commencer, elle pourra compléter potentiellement un protocole déjà efficace et solide. En ce qui concerne les autres plantes et les autres mesures diététiques, cela demande un accompagnement personnalisé.

BIBLIOGRAPHIE :

1 - Abraham Gnanadass S, Divakar Prabhu Y, Valsala Gopalakrishnan A. Association of metabolic and inflammatory markers with polycystic ovarian syndrome (PCOS): an update. Arch Gynecol Obstet. 2021 Mar;303(3):631-643. doi: 10.1007/s00404-020-05951-2. Epub 2021 Jan 13. PMID: 33439300.

2 - Janiszewska J, Ostrowska J, Szostak-Węgierek D. Milk and Dairy Products and Their Impact on Carbohydrate Metabolism and Fertility-A Potential Role in the Diet of Women with Polycystic Ovary Syndrome. Nutrients. 2020 Nov 13;12(11):3491. doi:10.3390/nu12113491. PMID: 33202986; PMCID: PMC7696580.

3 - Maleki V, Izadi A, Farsad-Naeimi A, Alizadeh M. Chromium supplementation does not improve weight loss or metabolic and hormonal variables in patients with polycystic ovary syndrome: A systematic review. Nutr Res. 2018 Aug;56:1-10. doi:10.1016/j.nutres.2018.04.003. Epub 2018 Apr 13. PMID: 30055769.

4 - Faghfoori Z, Fazelian S, Shadnoush M, Goodarzi R. Nutritional management in women with polycystic ovary syndrome: A review study. Diabetes Metab Syndr. 2017 Nov;11 Suppl1 :S429-S432. doi: 10.1016/j.dsx.2017.03.030. Epub 2017 Apr 5. PMID: 28416368.

5 - Kasim-Karakas SE, Almario RU, Cunningham W. Effects of protein versus simple sugar intake on weight loss in polycystic ovary syndrome (according to the National Institutes of Health criteria). Fertil Steril. 2009 Jul;92(1):262-70. doi: 10.1016/j.fertnstert.2008.05.065. Epub 2008 Aug 8. PMID: 18691705.

6 - Wang C, Huang T, Song W, Zhu J, Liu Y, Chen X, Sun X, Wu Q, Chen H, Liao H, Lin J, Ou X, Zou Z, Wang Z, Zheng Z, Wu K, Chen R. A meta-analysis of the relationship between polycystic ovary syndrome and sleep disturbances risk. Front Physiol. 2022 Sep 29;13:957112. doi: 10.3389/fphys.2022.957112. PMID: 36246113; PMCID: PMC9558285.

7 - Zhang J, Ye J, Tao X, Lu W, Chen X, Liu C. Sleep disturbances, sleep quality, and cardiovascular risk factors in women with polycystic ovary syndrome: Systematic review and meta-analysis. Front Endocrinol (Lausanne). 2022 Sep 13;13:971604. doi: 10.3389/fendo.2022.971604. PMID: 36176474; PMCID: PMC9513052.

8 - Patten RK, Boyle RA, Moholdt T, Kiel I, Hopkins WG, Harrison CL, Stepto NK. Exercise Interventions in Polycystic Ovary Syndrome: A Systematic Review and Meta-Analysis. Front Physiol. 2020 Jul 7;11:606. doi: 10.3389/fphys.2020.00606. PMID: 32733258; PMCID: PMC7358428.

9 - Stepto NK, Patten RK, Tassone EC, Misso ML, Brennan L, Boyle J, Boyle RA, Harrison CL, Hirschberg AL, Marsh K, Moreno-Asso A, Redman L, Thondan M, Wijeyaratne C, Teede HJ, Moran LJ. Exercise Recommendations for Women with Polycystic Ovary Syndrome: Is the Evidence Enough? Sports Med. 2019 Aug;49(8):1143-1157. doi: 10.1007/s40279-019-01133-6. PMID: 31166000; PMCID: PMC6905185.

10 - Li MF, Zhou XM, Li XL. The Effect of Berberine on Polycystic Ovary Syndrome Patients with Insulin Resistance (PCOS-IR): A Meta-Analysis and Systematic Review. Evid Based Complement Alternat Med. 2018 Nov 14;2018:2532935. doi: 10.1155/2018/2532935. PMID: 30538756; PMCID: PMC6261244.

11 - Xie L, Zhang D, Ma H, He H, Xia Q, Shen W, Chang H, Deng Y, Wu Q, Cong J, Wang CC, Wu X. The Effect of Berberine on Reproduction and Metabolism in Women with Polycystic Ovary Syndrome: A Systematic Review and Meta-Analysis of Randomized Control Trials. Evid Based Complement Alternat Med. 2019 Dec 13;2019:7918631. doi: 10.1155/2019/7918631. PMID: 31915452; PMCID: PMC6930782.

12 - Arentz S, Abbott JA, Smith CA, Bensoussan A. Herbal medicine for the management of polycystic ovary syndrome (PCOS) and associated oligo/amenorrhoea and hyperandrogenism; a review of the laboratory evidence for effects with corroborative clinical findings. BMC Complement Altern Med. 2014 Dec 18;14:511. doi: 10.1186/1472-6882-14-511. PMID: 25524718; PMCID: PMC4528347.

Maxime de Love Your Nutrition : L'expert SOPK

Dans cet article, Maxime de Love Your Nutrition, coach en nutrition et expert en SOPK, vous propose des conseils et des informations précieuses pour gérer votre syndrome des ovaires polykystiques. Formé à la lecture de la littérature scientifique, Maxime est passionné par l'aide qu'il peut apporter aux femmes atteintes de ce syndrome. Il propose des accompagnements personnalisés. Si vous avez besoin de soutien et de conseils nutritionnels pour gérer votre SOPK, n'hésitez pas à faire appel à ses services. Maxime est là pour vous soutenir et vous aider à améliorer votre mode de vie et votre santé de manière durable.
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